- Akira Yoshimura
- Shūsaku Endō
- John Steinbeck
- Joseph Conrad
- Graham Greene
- Richard Matheson
- Alexandre Dumas
- Charles Dickens
- Victor Hugo
- Arcadi et Boris Strougatski
[Littérature] Il n'en restera que dix.
- Coulis
- Zelateur
- Messages : 56
- Inscription : ven. avr. 17, 2020 12:45 pm
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
C'est un peu un crève-cœur, ce listing. 
- Silenttimo
- Dieu bavard du muet
- Messages : 8525
- Inscription : mar. févr. 13, 2007 3:39 pm
- Localisation : Hauts-de-Seine sud (92)
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Exercice intéressant, ce sera très anglo-saxon en ce qui me concerne !
Sans hésiter, mes 3 auteurs préférés :
- Conan Doyle (Professeur Challenger, Sir Nigel, ses nouvelles, et puis ce détective un peu connu dont j'ai oublié le nom...)
- Graham Greene
- Roald Dahl
Puis, sans ordre précis :
- Neil Gaiman
- Guy de Maupassant
- Stephen King
- Howard P. Lovecraft
- Stefan Zweig
- Herbert Georges Wells
- Dennis Lehane
Les accessits :
- Ernest Hemingway
- Agatha Christie
- Robert E. Howard
- J-P Jaworski
- Emile Zola
Sans hésiter, mes 3 auteurs préférés :
- Conan Doyle (Professeur Challenger, Sir Nigel, ses nouvelles, et puis ce détective un peu connu dont j'ai oublié le nom...)
- Graham Greene
- Roald Dahl
Puis, sans ordre précis :
- Neil Gaiman
- Guy de Maupassant
- Stephen King
- Howard P. Lovecraft
- Stefan Zweig
- Herbert Georges Wells
- Dennis Lehane
Les accessits :
- Ernest Hemingway
- Agatha Christie
- Robert E. Howard
- J-P Jaworski
- Emile Zola
"Mieux est de ris que de larmes écrire, pour ce que rire est le propre de l'homme" (Rabelais)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
- OSR
- Banni
- Messages : 1259
- Inscription : mar. nov. 21, 2017 10:32 am
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Celui-là ou le Pays d'Octobre...
Je me suis limité à un seul écrivain de SF, sacrifiant Dick au passage, à mon grand désarroi...
@Harfang2 tu as oublié de mettre Bradbury dans ton classement, le post d'Udo est valable

Sinon, pour mon bonheur personnel minimaliste, je pense que je peux me contenter d'une feuille A4 contenant "Le Bateau Ivre" de Rimbaud.
A une époque, je le connaissais par coeur, mais il ne m'en reste plus que deux quatrains en mémoire (le premier et celui avec les hommes-panthères).
On vieillit...
OSR = hommage à la défunte compagnie ferroviaire
Du rétrovieux et du complotisme narrativoïde sur Lulu / DriveThruRPG / Itch.io.
Je ne crois pas à la théorie rôliste.
Du rétrovieux et du complotisme narrativoïde sur Lulu / DriveThruRPG / Itch.io.
Je ne crois pas à la théorie rôliste.
- Silenttimo
- Dieu bavard du muet
- Messages : 8525
- Inscription : mar. févr. 13, 2007 3:39 pm
- Localisation : Hauts-de-Seine sud (92)
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
"Le bateau ivre", sur une île déserte, rien que le titre de ce poème doit finir par rendre fou !


"Mieux est de ris que de larmes écrire, pour ce que rire est le propre de l'homme" (Rabelais)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
- OSR
- Banni
- Messages : 1259
- Inscription : mar. nov. 21, 2017 10:32 am
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Allez, je vous le mets, effectivement rien qu'à le lire on fume quelques points de santé mentale.
Le Bateau ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées
Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants
La tempête a béni mes éveils maritimes
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'œil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très-antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
— Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux....
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur,
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur,
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Behemots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
— Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? —
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Le Bateau ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées
Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants
La tempête a béni mes éveils maritimes
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'œil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très-antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
— Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux....
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur,
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur,
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Behemots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
— Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? —
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
OSR = hommage à la défunte compagnie ferroviaire
Du rétrovieux et du complotisme narrativoïde sur Lulu / DriveThruRPG / Itch.io.
Je ne crois pas à la théorie rôliste.
Du rétrovieux et du complotisme narrativoïde sur Lulu / DriveThruRPG / Itch.io.
Je ne crois pas à la théorie rôliste.
- Belial
- Dieu du daaaark
- Messages : 696
- Inscription : mer. août 06, 2003 1:55 am
- Localisation : En vert
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Flaubert
Camus
Fabrice Colin
Frank Herbert
Zelazny
Buzzati
Robin Hobb
Fritz Leiber
Bradbury
Pratchett
Camus
Fabrice Colin
Frank Herbert
Zelazny
Buzzati
Robin Hobb
Fritz Leiber
Bradbury
Pratchett
- Sammael99
- Dieu des babines ruinées
- Messages : 12039
- Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
- Localisation : Hong Kong, Chine
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Je tente le coup.
Umberto Eco
Maurice Leblanc
Frank Herbert
Léo Malet
JRR Tolkien
Emile Zola
Italo Calvino
Iain Banks (et M. Banks, je fais d'une pierre deux coups)
Isaac Asimov
Jack Vance
Umberto Eco
Maurice Leblanc
Frank Herbert
Léo Malet
JRR Tolkien
Emile Zola
Italo Calvino
Iain Banks (et M. Banks, je fais d'une pierre deux coups)
Isaac Asimov
Jack Vance
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
- Kardwill
- Dieu des strates galactiques
- Messages : 8003
- Inscription : mar. déc. 11, 2007 3:19 pm
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Dans le désordre :
- Terry Pratchett (mon écrivain favori à moi que j'aime d'amour et qui a été oublié au méta classement que c'est une honte, nanmého!)
- Arthur Conan Doyle (qui a fait des trucs très chouettes, et a une plume agréable)
- Edgar Rice Burrough (pour le souffle épique et sauvage)
- Tolkien (parce que c'est l'ecrivain qui m'a donné l'amour de la Fantasy par un bel été de 1982)
- R.E. Howard (souffle épique et sauvage bis)
- J. Vance (mon écrivain fétiche de mes années lycée)
- David Weber (mon plaisir coupable de lecture ces dernières années)
- Alexandre Dumas (qui n'a pas pris une ride)
Restent 2, mais je ne saurait pas trop qui prendre. Je n'ai pas trop d'autres auteurs fétiches, ou alors des auteurs dont je me suis éloigné avec les ans (comme Asimov, que je trouve difficile à relire aujourd'hui)
- Terry Pratchett (mon écrivain favori à moi que j'aime d'amour et qui a été oublié au méta classement que c'est une honte, nanmého!)
- Arthur Conan Doyle (qui a fait des trucs très chouettes, et a une plume agréable)
- Edgar Rice Burrough (pour le souffle épique et sauvage)
- Tolkien (parce que c'est l'ecrivain qui m'a donné l'amour de la Fantasy par un bel été de 1982)
- R.E. Howard (souffle épique et sauvage bis)
- J. Vance (mon écrivain fétiche de mes années lycée)
- David Weber (mon plaisir coupable de lecture ces dernières années)
- Alexandre Dumas (qui n'a pas pris une ride)
Restent 2, mais je ne saurait pas trop qui prendre. Je n'ai pas trop d'autres auteurs fétiches, ou alors des auteurs dont je me suis éloigné avec les ans (comme Asimov, que je trouve difficile à relire aujourd'hui)
MJ actuellement sur : Dresden Files (Fate), Star Trek (Fate), Ravenloft (D&D)
- Kardwill
- Dieu des strates galactiques
- Messages : 8003
- Inscription : mar. déc. 11, 2007 3:19 pm
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Sir Nigel, c'est ce qui a vraiment fait passer Conan Doyle de "auteur sympa pour occuper un voyage en train" à "auteur méritant de figurer sur cette liste", pour moiSilenttimo a écrit : ↑lun. mars 15, 2021 12:03 am - Conan Doyle (Professeur Challenger, Sir Nigel, ses nouvelles, et puis ce détective un peu connu dont j'ai oublié le nom...)

MJ actuellement sur : Dresden Files (Fate), Star Trek (Fate), Ravenloft (D&D)
- Calisto
- Dieu des audacieux
- Messages : 4778
- Inscription : mer. août 13, 2003 7:26 pm
- Localisation : Houdan (78)
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Perso comme auteur œuvres complètes et par la suite un livre de sa biographie dans l'idée de n'en garder qu'un :
-Fiodor Dostoïevski - L'Idiot (pour moi l'un des plus beau livre que j'ai eu la chance de lire)
-Stendhal - Le Rouge et le Noir
-Hermann Hesse - Le Jeu des perles de verre
-Michel Houellebecq - Plateforme
-Gustave Flaubert- Salammbô
-Ernst Jünger- Sur les falaises de marbre
-Joseph Heller- Catch 22
-Yukio Mishima- Neige de Printemps
-Isaac Asimov- Cycle des Robots... pas évident...
-Tolkien- Silmarillion
C'est très cruel comme exercice...
-Fiodor Dostoïevski - L'Idiot (pour moi l'un des plus beau livre que j'ai eu la chance de lire)
-Stendhal - Le Rouge et le Noir
-Hermann Hesse - Le Jeu des perles de verre
-Michel Houellebecq - Plateforme
-Gustave Flaubert- Salammbô
-Ernst Jünger- Sur les falaises de marbre
-Joseph Heller- Catch 22
-Yukio Mishima- Neige de Printemps
-Isaac Asimov- Cycle des Robots... pas évident...
-Tolkien- Silmarillion
C'est très cruel comme exercice...
“Omnes stulti, et deliberatione non utentes, omnia tentant”
- Silenttimo
- Dieu bavard du muet
- Messages : 8525
- Inscription : mar. févr. 13, 2007 3:39 pm
- Localisation : Hauts-de-Seine sud (92)
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Je l'avais lu il y a pus de 30 ans, j'avais beaucoup aimé.Kardwill a écrit : ↑mar. mars 16, 2021 3:47 pmSir Nigel, c'est ce qui a vraiment fait passer Conan Doyle de "auteur sympa pour occuper un voyage en train" à "auteur méritant de figurer sur cette liste", pour moiSilenttimo a écrit : ↑lun. mars 15, 2021 12:03 am - Conan Doyle (Professeur Challenger, Sir Nigel, ses nouvelles, et puis ce détective un peu connu dont j'ai oublié le nom...)
J'ai relu le diptyque il y a environ 3 ans : j'ai adoré.
Je l'ai offert deux fois depuis.
Cela dit, je suis en train de m'enquiller toutes les aventures du Professeur Challenger : le "monde perdu" reste un classique relu avec plaisir, les autres aventures sont un cran en-dessous mas restent plaisantes, surtout la courte histoire "la machine à désintégrer" que j'ai trouvé très très sympa. Après, j'attaque ses nouvelles fantastiques et bizarres.
Et j'avais relu les 3/4 de Sherlock Holmes : j'aime beaucoup les deux premiers romans ("une étude en rouge" et "le signe des 4"). J'ai revu à la hausse "le chien des Baskerville".
Pas encore relu "la vallée de la peur", mais j'en ai un excellent souvenir.
Les nouvelles sont globalement sympas, mais il n'y en a que quelques unes qui sortent du lot ("un scandale en Bohême", "l'homme à la lèvre tordue"...).
"Mieux est de ris que de larmes écrire, pour ce que rire est le propre de l'homme" (Rabelais)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
Fan de ciné muet et US :
- Lubitsch : "Je fais appel à l'intelligence du spectateur !"
- Avatar : "l'homme qui rit" de P. Leni (1928)
- Ravachol
- Messie
- Messages : 1054
- Inscription : lun. avr. 08, 2013 2:35 pm
- Localisation : Toulouse
- Contact :
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
Bon, si on parle d’œuvre complète, je refais une liste. Les doublons disparaissent, certains auteurs d'une œuvre (Simack, Jaworski) disparaissent... Les 6 premiers sont une évidence (et si j'ai le choix, je les emporte aux éditions de La Pleiade), les quatre derniers sont plus sur la sellette, en fonction de mon humeur.
- Albert Camus, sans hésiter, et en premier
- Victor Hugo
- Alexandre Dumas (père)
- Gabriel Garcia Marquez
- Romain Gary (et Emile Ajar, il serait dommage de se priver de l'excellent "la vie devant soi" pour une histoire de pseudo)
- Umberto Eco
- Ayroles (pour emporter De Cape et De Crocs)
- Paco Ignacio Taibo II
- Stefan Zweig
- Ayerdhal
- Albert Camus, sans hésiter, et en premier
- Victor Hugo
- Alexandre Dumas (père)
- Gabriel Garcia Marquez
- Romain Gary (et Emile Ajar, il serait dommage de se priver de l'excellent "la vie devant soi" pour une histoire de pseudo)
- Umberto Eco
- Ayroles (pour emporter De Cape et De Crocs)
- Paco Ignacio Taibo II
- Stefan Zweig
- Ayerdhal
J'ai Diplomatie comme compétence. Ca fait combien de dommage ?
Une activité sans lien avec le jdr (sauf le patron) sur Toulouse :Un karaoké box
Une activité sans lien avec le jdr (sauf le patron) sur Toulouse :Un karaoké box
- Harfang2
- Pratiquant
- Messages : 215
- Inscription : jeu. déc. 03, 2020 5:51 pm
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
MàJ de la liste, sous réserve d'erreurs ^^
- Kandjar
- Envoyé de la Source
- Messages : 8361
- Inscription : sam. févr. 05, 2005 9:32 pm
- Localisation : Petit mouroir tout gris entre l'Allemagne et la vie
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
- Terry Pratchett
- John RR Tolkien
- Roger Zelazny
- Isaac Asimov
- Douglas Adams
- Dan Simmons
- George RR Martin
- Glen Cook
- Joan K Rowling
- Neil Gaiman
- John RR Tolkien
- Roger Zelazny
- Isaac Asimov
- Douglas Adams
- Dan Simmons
- George RR Martin
- Glen Cook
- Joan K Rowling
- Neil Gaiman
- Erwan G
- Envoyé de la Source
- Messages : 15160
- Inscription : lun. oct. 25, 2004 6:51 pm
- Localisation : Grenoble
Re: [Littérature] Il n'en restera que dix.
C'est chaud, parce que 10 livres, ce n'est pas 10 auteurs.
10 livres, à ce jour, ça serait :
10 auteurs :
10 livres, à ce jour, ça serait :
- Solenoïde (parce que je peux le lire, le relire et y trouver toujours quelque chose)
- Moby Dick
- Les nouvelles, Omnibus Phillip K Dick
- Histoire des idées religieuses Mircea Eliade
- l'Incal
- la Bible
- les Ghatas
- Entretiens de Confucius
- Ulysse de Joyce pour me forcer à le finir, si je n'ai rien d'autre, j'y arriverais peut être
- Le Maitre et Marguerite
10 auteurs :
- Hugo
- Dumas
- Desproges
- David Weber
- Dick
- Pennac
- Vian
- Boulgakov
- Goscinny
- Le Guin