[CR - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

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184201739
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Message par 184201739 »

Catchaluk est un JDR à univers se déroulant dans un univers fictif inspiré des civilisations d’Amérique précolombienne (principalement aztèques, mayas, chichimèques, olmèques, purepechas, incas, peuples amazoniens…). Dans ce monde dur dont l’existence n’est soutenue que par les sacrifices, les personnages appartiennent à l’une des diverses peuplades ayant chacun leur langue, coutumes, traditions, etc… Les joueurs n'incarnent pas des héros surhumains et leurs personnages joueurs ne disposent pas de capacités intrinsèques les distinguant de ceux qu'ils rencontrent (pas de mécanismes "héroïques"). C'est un JDR avec un univers dense et dépaysant, destiné à un public majeur et averti.

(Beaucoup) Plus d'informations ici : https://catchaluk.wixsite.com/lejdr

La partie relatée s'est déroulée sur deux sessions vespérales, d'une durée totale de 6 heures environ (incluant présentation de l'Univers et de la base du système de résolution), sur Discord et Roll 20. Il s'agit d'un scénario d'initiation, dont les prétirés disposent d'un historique développé, survolé ci-dessous.

Des réfugiés d’un peuple (les Cutchakans) entretenant des relations conflictuelles avec l’empire atlec ont étés implantés près d'une cité de seconde importance et des tensions sont apparues, conduisant au décès d'une jeune femme de ce peuple. Une prétendante atlèque aux fonctions d'administratrice est désignée pour éviter que les choses ne dégénèrent.

Les personnages :

-Kusinia Ayampalaki - Yuzurie, autrice de Meujesse Podcast : Fille d’un puissant paretche (administrateur) de l’Empire Atlec, dont la société est franchement misogyne, Kusinia était promise à un avenir d’épouse d’un puissant paretche ou chef de guerre. Ambitieuse, elle souhaitait plus que tout faire ses preuves et devenir elle aussi une paretche. Malgré la démonstration de ses facultés à l'examen, elle fut éconduite du fait de son genre. Pire pour lui donner une leçon son examinateur lui proposa un poste de diplomate auprès de Cutchakans (mal) intégrés à l'empire, position considérée comme dangereuse et humiliante. Comprenant qu’elle n’aurait pas d’autre chance de faire ses preuves elle accepta avec pragmatisme et détermination. Depuis ces deux années elle tente dans un grand respect de l'étiquette de faire en sorte que les relations se passent bien entre les communautés cutchakannes de l’empire et le reste de la population.

- Coyote Fumant - 184201739 : Issu du peuple iktomi, constitué de tribus Cutchakans sédentarisées de longue date et plus civilisées aux yeux atlèques, de son vrai nom 4 Chien, l'ancien esclave Coyote Fumant fut racheté et libéré par Kusinia lorsque celle-ci connu son "affectation". Il honore l'accord passé avec elle et exerce donc présentement pour elle la fonction de Garde du Corps (et d'interprète, initialement, Kusinia ayant depuis appris le cutchakan). Particulièrement grand et puissant, 4 Chien joue avec malice et délectation aux yeux des Atlecs, de mèche avec Kusinia , le personnage de Coyote Fumant : celui d'un barbare brutal ne comprenant rien de leurs propos, alors qu'il entend parfaitement leur langue.

-Xote - Romain : Fils de deux plumassiers de talents, Xote eut la chance que ses parents furent talentueux au point d’attirer l’attention de la famille Ayampalaki et d'en obtenir que l’un de leurs enfants aille à l’école religieuse, chose normalement réservée à l’élite. Là, Xote se montra très doué dans l’art de l’écriture et devint scribe. Souhaitant pleinement s’intégrer à l’Empire Atlec comme ses parents, il s’engagea dans plusieurs campagnes de l’armée atlèque locale. Il y a deux années, alors qu’il s’apprêtait à s’engager une nouvelle fois, le père de Kusinia le fit appeler et lui épargna de devoir servir de nouveau dans l’armée en échange de son acceptation d'aider Kusinia dans sa nouvelle tâche. Le réfléchi et chaleureux Xote s'y consacre au mieux de ses facultés.

- Ollonto Ayampalaki - animé par le Meneur (qui se trouve être l'auteur du jeu) : Cousin de Kusinia, Ollonto était le fils d’un puissant Tawatan (chef militaire) de l’Empire atlec. Il se mit au service d’un guerrier aigle auprès de qui il apprit l’art du combat. Suivant ce dernier dans les campagnes de son père, il finit par être intronisé comme guerrier aigle à part entière. Malheureusement il y a un an son père fut envoyé lutter contre des incursions cutchakannes. La campagne fut un échec et le père d’Ollonto ayant perdu son statut et la face mit fin à ses jours. Se retrouvant seul à la charge de sa famille mais voulant garder son niveau de vie, Ollonto fut rapidement couvert de dettes. Il y a quelques mois le père de Kusinia proposa de l’engager comme garde du corps pour sa fille en échange du paiement de ses dettes. Au service de Kusinia, Ollonto n'approuve pas vraiment ce qu'entreprend cette dernière estimant que ce n'est pas vraiment sa place. Il garde cependant son opinion pour lui. Il a en revanche plus de mal à cacher le mépris qu'il a pour les Cutchakans bien qu'il sache ne pas dépasser les limites. Il n'apprécie pas vraiment Coyote Fumant même s'il le respecte et trouve son personnage amusant.

Voilà pour la présentation ...
Dernière modification par 184201739 le sam. juil. 17, 2021 10:18 pm, modifié 3 fois.
184201739
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Re: [CR - En cours de rédaction - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

Message par 184201739 »

Par la suite je nommerai délégation ce groupe de personnages, mais seule Kusinia aura un statut officiel, plutôt "para-officiel" d'ailleurs, auprès du paretche (Urma Michaukalla ) et du Haut Prêtre (Wayra Sihuiko), au district de Nan'a Suco.

Nous sommes à la Saison du Maïs (récoltes) et la région est essentiellement constituée de plaines sèches.

Ainsi donc ...

Dans la grande ville d'Okarako'uechan, Kusinia est convoquée par le paretche de région Palla Quichca qui lui assigne mission de se rendre dans un district éloigné de quatre jours de marche pour tenter d'y réaliser une tâche dont il ne cache pas que d'autres semblent l'avoir refusée au motif qu'elle serait vouée à mal se terminer. L'administrateur de la Province ne s'en prétend pas moins ouvert à la reconnaissance de ses compétences en cas de succès ... L'homme est d'évidence au fait des ambitions de notre élégante atlèque et il a vu juste : pensant tenir peut-être là l'occasion, si maigres soient ses chances, d'enfin accéder au statut de paretche, Kusinia n'envisage même pas de se dérober ...

Voici donc Kusinia, assistée par Xote et escortée par la paire si mal assortie Ollonto et Coyote Fumant, chargée d'apaiser les tensions entre la population du district de Nan'a Suco et les réfugiés cutchakans établis sur son territoire, alors que l'un des Cutchakans se serait fait tuer il y a quelques jours. Le paretche Urma Michaukalla, qualifié d'idiot par Palla Quichca devant Kusinia (!), se serait mis en tête de chasser ou même de tuer ces réfugiés auxquels l'empire  a promis une terre d'accueil. Palla Quichca fait savoir avoir été informé de la situation par le Haut Prêtre local,  Wayra Sihuiko, et que si Urma sera averti par messager de la venue de Kusinia, elle ne doit pas s'attendre à trop de coopération de celui-ci.

Avant de se rendre à Pusararu'uechan, ville principale du district agité par ce trouble, la délégation tente de se renseigner à Okarako'uechan.
Kusinia apprend assez vite l'origine de l'établissement de ces réfugiés dans le district [Dépense de 2 points en Connaissance - Société]. Il y a quelques 6 mois s'est déroulée une grosse incursion cutchakan dans la province adjacente à celle administrée par Pallaqui. Nombreux auraient été les morts et les exactions (prisonniers torturés gratuitement, etc.). Le paretche de cette province aurait réagi comme il convient, en organisant une conséquente intervention militaire de rétorsion menée par trois tawattans [chefs militaires]. L'un d'entre eux, Lance Rouge, aurait en territoire cutchakan largement outrepassé les bornes de la cruauté légitime et complètement lâché la bride à ses hommes, d'où massacres avec mises en scènes des cadavres, rasages de villages, entretien délibéré et sadique de la peur auprès d'autres ... à tel point que certains de ses soldats auraient même déserté. Suite à sa dénonciation par les deux autres tawattans, le paretche qui l'avait mandaté l'aurait disgracié. Kusinia ne peut être certaine de l'exactitude des faits imputés à Lance Rouge : ils ont pu être exagérés ou même complètement déformés par les rivaux de Lance Rouge qui auraient pu le dénoncer par jalousie ou compétition . Ce paretche a envoyé des délégation avec cadeaux (dont des semences résistantes) aux tribus cutchakans victimes de Lance Rouge, et certaines d'entre elles ont accepté de venir s'installer dans l'Empire, alors que d'autres exécutaient les messagers. Quoi qu'il en soit les tribus accueillies ont été dispersés sur plusieurs districts, y compris sur des districts n'appartenant pas à la province touchée par ces évènements, comme c'est le cas pour celui de Nan'a Suco. Évidemment les paretches des districts d'accueil n'étaient pas forcément volontaires ...
Sur le grand marché, Xote et Kusinia ont confirmation par un marchand de miel qui était il y a six jours encore à Pusararu'uechan, qu'il qualifie de "trou perdu", de la présence là-bas depuis deux mois environ, de 150 réfugiés cutchakans à peu près, commandés par la femme Mille Ciels, qui se sont vus attribuer des terres et de la nourriture, et de la mort récente (il y a sept jours) d'une jeune Cutchakan des mains d'un jeune Atlec local, un dénommé Alinka, jugé et condamné par le paretche des lieux mais insuffisamment sanctionné aux yeux des Cutchakans. Comme le suggère Xote, Kusinia achète deux jarres de miel au marchand, qui feront pense-t-elle de forts décents cadeaux pour le paretche et le Haut Prêtre de Pusararu'uechan. Ce luxe de dépenses ne semble pas étranger aux détails livrés par l'homme sur la situation locale dans l'ombre portée sur une partie de son étal par le silencieux colosse Coyote Fumant.

Pusararu'uechan est située à moins de quatre jours de marche d'Okarako'uechan, trajet sans danger et dépourvu de péripétie, au terme duquel la délégation se trouve à la Porte de la Cité (qui s'avère modeste mais pas insignifiante).

A SUIVRE ...
Dernière modification par 184201739 le lun. juil. 19, 2021 10:55 am, modifié 3 fois.
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Re: [CR - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

Message par 184201739 »

Une fois la porte de la cité passée, sans autre formalité que la déclinaison de son identité par Kusinia devant les deux guerriers aigles qui la gardent selon l'usage, celle-ci décide non pas d'aller se présenter tout de suite au paretche Urma, mais de prendre la température auprès de la population. A cette occasion elle fait montre de son autorité sur 4 Chien qui prône une présentation immédiate au paretche, dont il craint qu'il soit déjà bien contrarié par l'envoi d'une délégation, qui plus est conduite par une femme. Et elle lui fait remarquer qu'il tire trop vite ses conclusions, celui-ci ayant bêtement cru qu'elle suggérait qu'il la laisse évoluer en la Cité hors de sa présence intimidante. Ollonto, Xote et Kusinia, flanquée de Coyote Fumant, vont donc aux nouvelles chacun de leur côté.

Outre les lieux religieux et administratifs et une paire d'auberges, la ville est constituée d'une collection d'îlots résidentiels dévolus chacun à une famille, chacun accessible a priori par une seule issue et entouré de murs de deux mètres de haut. Les toits sont d'herbes sèches agglomérées  et les murs de briques sont enduits de plâtre blanc.

Ollonto en revient en ayant localisé l'îlot de la famille d'Allinpa.
Xote entend de la bouche d'un jeune prêtre qui tient un offertoire que le paretche Urma serait un gouvernant capable et raisonnable et la formulation d'un récit relatif à cause de la venue des réfugiés et à Lance Rouge qui corrobore ce que Kusinia avait entendu à Okarako'uechan.
Sur la place centrale, Kusinia vante à un plumassier surpris de ces louanges la qualité des produits qu'il vend. Dans son échange avec lui, qu'elle porte rapidement sur l'évènement meurtrier, elle prend conscience de l'absence d'unanimité des clients alentours, en large majorité atlèques, quant au déroulé des évènements et aux responsabilités imputables aux uns et aux autres dans le drame. Certains sont quand même bien énervés et le matelassier au constat de l'élévation de la température devient assez rapidement plus évasif. Mais l'élégante a le temps d'apprendre la teneur de la punition infligée par Urma à l'assassin. Une sanction somme toute lourde : le rétrécissement pendant 5 ans des terres attribuées à la famille d'Alinka, la privation du droit de vendre au marché pendant un an, et la condamnation à donner une bonne quantité de biens divers aux réfugiés cutchakans : 12 grandes jarres en céramique remplies de maïs,10 couverture (qui sont des biens de valeur non négligeable), 10 nattes, 10 bâtons à fouir, 2 metate (outil en pierre destiné au traitement des céréales et graines). Et le plumassier lui relate sa version du déroulement des faits : plusieurs jours avant le meurtre, la jeune Cutchakan et son père auraient eu l'audace de venir vendre au marché et se seraient positionnés sur l'emplacement de la famille d'Alinka ! Une échauffourée dans lequel le père aurait été bastonné se serait produite. Quelques jours plus tard, hors les murs, Alinka aurait rencontré la jeune femme et celle-ci aurait été assassinée par lui.
Non loin de là, gardant Kusinia à l’œil, 4 Chien avise un Iktomi en train de jouer à l'opulc avec un Atlec. Après la défaite de l'Iktomi, que le connaisseur 4 Chien estime concédée à la loyale, il propose au perdant de prendre ensemble une Chicha (bière). Coyote Fumant porte la conversation sur la situation vis-à-vis des réfugiés : selon l'Iktomi, la sanction, même lourde, ne pouvait pas être acceptée par les Cutchakans. Le meurtre peut-être, selon certains, n'aurait pas été le fait du seul Allinpa, mais de trois hommes. Depuis le rendu du jugement, deux jeunes Cutchakans ont été surpris en train d'essayer de voler un lama. Suite à quoi une foule en en colère, armée, est allée manifester son hostilité aux Cutchacans au-devant de leur campement, et été accueillie par des tirs de flèches, qui n'ont pas fait de victimes. Ils sont désormais reclus dans le périmètre de leur campement et surveillés par une petite troupe armée. Chose qui donne matière à réflexion à 4 Chien : pour l'Iktomi le procès aurait dû être du ressort du Haut Prêtre, et la paretche aura prétexté qu'il se serait agi initialement d'un conflit survenu au marché pour se saisir de l'affaire et la trancher lui-même.



 A SUIVRE
Dernière modification par 184201739 le lun. juil. 19, 2021 8:29 pm, modifié 2 fois.
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Re: [CR - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

Message par 184201739 »

La délégation se reconstitue et les informations obtenues sont mises en commun.
Il est temps pour Kusinia de se présenter au paretche !

Son palais est entouré d'une muraille. Se tiennent en haut de l'escalier donnant accès au palais quatre guerriers aigles. Xote leur annonce la qualité de Kusinia. Peu après la délégation est conduite au sein du palais par un esclave à une petite cour d'agrément comportant bassin, bassin, où elle est reçue par le paretche. Tous s'inclinent devant lui et miment le geste d'amener de la terre à leur bouche en signe de respect et d'humilité.
Urma, sans surprise un homme d'âge mûr, a l'air soucieux et contrarié. Il a reçu le messager annonçant la venue de Kusinia. C'est à elle uniquement qu'il s'adresse lors de cet échange. "J'imagine qu'on vous a sanctionnée en vous confiant cette mission." Son récit concernant ce qui s'est déroulé ici est similaire à ceux entendus précédemment. Urma soutient que la réparation qu'il a décidée avait pour objet en particulier de les aider à s'implanter. Mais les Cutchakans auraient volé de plus en plus après le jugement, et les biens attribués au titre du jugement auraient été même détruits par les Cutchakans en signe de refus du verdict. Au-delà des préjugés légitimes aux oreilles d'Ollonto, la tonalité de ses propos ne révèle pas une disposition d'esprit radicalement intransigeante à l'encontre des réfugiés, mais il est clair qu'à ce stade il juge ingérable la situation. Il exprime d'ailleurs son point de vue : "Je les aurais fait escorter jusqu'à d'autres terres si il n'en tenait qu'à moi". Il rappelle à Kusinia qu'il n'est pas subordonné à elle et lui " accorde trois jours pour trouver une solution, après quoi je les ferai conduire en dehors du territoire. Ne faites aucune promesse en mon nom." Kusinia indique qu'il était parvenu aux oreilles du paretche Palla qu'il envisageait de les chasser de manière plus violente. Ce à quoi Urma répond qu'il n'aura "aucun scrupule à les faire massacrer si ils ne se plient pas à nos décisions".

Le paretche reçoit de Kusinia le présent de la jarre de miel achetée à Okarako'uechan et fait servir en retour à la délégation un gobelet de chicha, bière de maïs de meilleure saveur que celle bue tantôt par Coyote Fumant. Il offre l'hospitalité en son palais : une chambre à part pour Kusinia, et une chambre commune pour ses accompagnateurs.

Urma ne semble pas l'idiot que disait le paretche  Palla Quichca. 4 Chien se demande pourquoi celui-ci, devant Kusinia, une femme qui n'a pas le statut de paretche, s'est autorisé à dénigrer le paretche Urma !  Mais 4 Chien n'est pas au fait des usages de la haute société atlèque ... Cependant Kusinia avait rapporté que l'homme selon Palla Quichca ne serait probablement guère coopératif, et il semble au colosse que l'homme ne l'est finalement pas si peu, hébergeant tout de même la suite de Kusinia au sein du Palais, et ne se formalisant pas du fait qu'on lui envoie une femme ! Si le vocabulaire des Atlecs n'a plus de secret pour 4 Chien, leurs manières le déroutent encore parfois ! Peut-être Kusinia aura-t-elle su déceler mieux que lui si les propos du paretche sont fidèles aux faits ?

A SUIVRE ...

 
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Re: [CR - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

Message par 184201739 »

Plan de la ville de Pusararu'uechan :
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Re: [CR - CATCHALUK - Jdr d'Inspiration Précolombienne] Les Sauvages

Message par 184201739 »

Mince je n'avais pas terminé ce CR ! Quel dommage, il l'aurait mérité ! C'est loin maintenant ! Pépins familiaux de premier ordre dans les mois qui avaient suivi.
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