ON se croirait dans Tales from the flood :


Qui Revient de Loin a écrit : ↑jeu. juil. 03, 2025 7:09 pm En fait, je découvre qu'il y a plein de sorte d'éoliennes sans pale : https://endalldisease.com/bladeless-win ... gy-energy/
22,1% de l'électricité consommée le mois dernier en Europe a été produite par le soleil, juste devant le nucléaire (21,8%) et l'éolien (15,8%).
L’Europe a mis en place depuis 2016 un règlement contre les « espèces exotiques envahissantes », qui bannit environ 90 animaux et plantes à des fins de prévention. Le raton laveur en fait partie : on ne peut en acheter, en garder chez soi, en vendre, etc.
[...]
Quels sont ses prédateurs naturels ?
Aux États-Unis, ce sont les coyotes, les loups voire le lynx. En Amérique du Nord, il vit en communauté au côté d’autres petits carnivores avec qui il se retrouve en compétition pour l’espace et la nourriture. Ici, les fouines, les martres et les renards ne font pas le poids.
Pourquoi pose-t-il tant de problèmes chez nous ?
Comme c’est un petit carnivore opportuniste, son assiette est très variée. Il engloutit des poussins, des œufs, des petits mammifères, des insectes, des grenouilles… Il menace la biodiversité locale, notamment dans des zones remarquables où les espèces natives font face à d’autres pressions comme la pollution, la surpêche, la dégradation des habitats, etc. Des agriculteurs s’en plaignent puisqu’il se nourrit d’épis de maïs. Il troue les bâches d’ensilage pour récupérer sa nourriture et laisse les restes pourrir sous le plastique.
Ces mammifères sont-ils porteurs de maladies ?
L’impact sanitaire n’est pas négligeable. Certaines populations, notamment dans le Massif central selon l’Anses, sont porteuses de Baylisascaris procyonis, des vers ronds intestinaux. Ces parasites peuvent entraîner une infection très invalidante chez l’être humain. Certes rare, l’ingestion des œufs — présents dans les matières fécales — entraîne la libération de larves qui migrent dans le cerveau et les yeux, pouvant provoquer des cécités.
Le ministre chargé de l'agriculture peut établir, par un arrêté [...], la liste des usages ayant pour objet de lutter contre des organismes nuisibles ou des végétaux indésirables affectant de manière significative le potentiel de production agricole et alimentaire et contre lesquels les moyens de lutte sont inexistants, insuffisants ou susceptibles de disparaître à brève échéance, dans la limite de quinze pour cent des usages répertoriés dans le catalogue national des usages phytopharmaceutiques.
Le directeur général de l'[ANSES] tient compte, dans le calendrier d'examen des demandes d'autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants vendus seuls ou en mélange ainsi que des demandes de modification, de renouvellement ou de retrait d'une telle autorisation, de l'arrêté mentionné au deuxième alinéa du présent article.
Bravo : tu as mis le doigt sur le problème de santé de Robert Kennedy Jr, qui se plaignait qu'un ver lui ait rongé le cerveaucdang a écrit : ↑ven. juil. 11, 2025 10:53 am
Ces mammifères sont-ils porteurs de maladies ?
L’impact sanitaire n’est pas négligeable. Certaines populations, notamment dans le Massif central selon l’Anses, sont porteuses de Baylisascaris procyonis, des vers ronds intestinaux. Ces parasites peuvent entraîner une infection très invalidante chez l’être humain. Certes rare, l’ingestion des œufs — présents dans les matières fécales — entraîne la libération de larves qui migrent dans le cerveau et les yeux, pouvant provoquer des cécités.
Bref, vous êtes averti·es : ne mangez pas de la matière fécale non-identifiée.
DE ce que je comprends de la synthèse, les émissions sont en majorité dues aux déplacements des artistes/employés/spectateurs.Kandjar a écrit : ↑sam. juil. 12, 2025 3:24 pm "1,3 % des émissions de CO₂ [...] pour un secteur qui emploie 2,6 % de la population active et contribue à 2,3 % du PIB français"
Donc déjà c'est pas forcément la priorité des priorités.
Ensuite, il n'y a pas de secret : démondialiser, décapitaliser. Plus de petits spectacles locaux, moins de grosses stars qui font venir des gens de tout le pays voire des pays voisins. Penser au maximum l'accessibilité des lieux : moins de voiture individuelle, plus de transports en commun et de mobilités dites douces. Ca ne se décrète pas, ça se prépare et ça demande des investissements.
Kandjar a écrit : ↑sam. juil. 12, 2025 3:24 pm "1,3 % des émissions de CO₂ [...] pour un secteur qui emploie 2,6 % de la population active et contribue à 2,3 % du PIB français"
Donc déjà c'est pas forcément la priorité des priorités.
Ensuite, il n'y a pas de secret : démondialiser, décapitaliser. Plus de petits spectacles locaux, moins de grosses stars qui font venir des gens de tout le pays voire des pays voisins. Penser au maximum l'accessibilité des lieux : moins de voiture individuelle, plus de transports en commun et de mobilités dites douces. Ca ne se décrète pas, ça se prépare et ça demande des investissements.
On peut aussi opter pur une forme de mutualisation, comme pour tus les biens : revente, location... Les grandes structures (Opéra de Paris par exemple) stockent des décors et costumes pour les resservir. On pourrait avoir des structures rendant ce service (association, boutique) ; p.-ex. au Havre, on la La Malle aux costumes, et à Maisons-Alfort, il y avait une boutique de location de vêtements de fêtes (plutôt qu'acheter son costume de clown pas cher qui servira une seule fois).Qui Revient de Loin a écrit : ↑sam. juil. 12, 2025 4:16 pm Il y a aussi pour certains arts vivants les émissions dues aux achats : "de fonctionnement", décors et costumes. Je n'ai pas vu d'explication de l'origine des émissions dans ces achats, donc je ne comprends pas bien à quoi cela fait référence, par contre si la société se décarbone, ça décarbornera certainement ces achats.