[CR] [warhammer] L'ennemi intérieur
Publié : ven. avr. 13, 2012 11:46 am
Salut tout le monde! 
Je me suis lancé récemment sur un forum de partie en ligne (pour les curieux) et y ai proposé la campagne de l'Ennemi Intérieur pour Warhammer.
Je vous livre donc le compte rendu de ma campagne. Chaque séance est contée du point de vue d'un des personnages. Cela permet selon moi d'impliquer plus les joueurs et de moins me casser le cul à écrire un résumé.
Si mes joueurs passent par là, je leur demanderait de faire demi tour sous peine de se voir spoiler le background de leurs gentils camarades ainsi que le pourquoi du comment de certaines scènes.
Commençons par présenter les protagonistes de l'histoire. Ils sont au nombre de quatre et comptent un apprenti sorcier de bonne famille, son fidèle serviteur, le cousin du serviteur (un vagabond à la main leste), ainsi qu'un kossar kislevite en vadrouille, payé pour leur servir de guide et de protecteur.
Albrecht von Lerndwitz


Un jeune homme d'une vingtaine d'année qui en parait trente, ses poils et ses cheveux sont en train de repousser laissant quelques marque de négligence avancée, une barbe imparfaite de quelques jours, des touffes de cheveux poussant plus vite que d'autre. Il porte une chasuble de couleur sombre violet, tirant parfois sur le noir, il porte avec lui de nombreux sacs d’où dépassent des ouvrages imprimés, son regard semble être d'un homme qui vient de recouvrer la liberté ... à la fois brillant et enjoué. il porte également un bâton et un chapeau à large bord à l'instar des chasseur de sorcières dénaturant ainsi son accoutrement et le tournant vers une mode complètement dépareillée.
Un tempérament totalement inattendu, qui passe d'un extrême à l'autre, semblant avoir vécu dans une autre univers, mais est parfois aussi stoïque qu'un aventurier expérimenté ...
Igor Stadtmüller

Igor Stadtmüller est un personnage de forte stature aussi impassible, austère, servile et distingué qu'un croque mort. Il est silencieux, parle peu et une fois passée la surprise de sa grande taille, à une forte tendance à passer rapidement inaperçu en faisant partie du décors, cette espèce de professionnelle insignifiance qu'ont les serviteurs du monde entier. Car oui, il est grand, très grand, et dépasse ses contemporains d'une bonne tête.
Ce domestique doit approcher la quarantaine au vue des poches qu'il a sous les yeux, des rides de son front et de ses cheveux courts et raides qui commencent a grisonner. Igor est d'ordinaire très inexpressif, son regard noir et dur est voilé d'indifférence et sa grande bouche est bien souvent figée dans une moue polie de statue.
Lüther Stadtmüller

Un homme encore du bon côté de sa vie mais pas pour longtemps, taille légèrement inférieure à la moyenne, plutôt agréable avec un visage peu marqué, de grands yeux bleus délavés qui soutiennent un regard qui change du tout au tout rapidement en fonction des circonstances : curieux, joueur, ébahi, soupçonneux, dur, hanté, triste ou simplement neutre et froid. Des cheveux courts en bataille noirs prématurément mêlés de blanc comme sa barbe drue qui date. Une brûlure sur l'oreille droite dont il manque le lobe, et une canine en bois qui a connue de meilleurs jours.
Il porte de vieilles braies amples de laine grise, des bottes basses à rabat en cuir, une ample chemise de lin blanc brodée qui semble presque neuve sous une épaisse tunique de cuir molletonné à lacets qui semble un poil grande pour lui, une lourde cape de laine brune rapiécée avec une profonde capuche, un large chapeau vert qui semble également neuf avec une vieille patte de lapin accrochée par un ruban brun. La bosse sous sa cape est un fin sac de dos d'un beau cuir presque neuf qui lui colle comme une seconde peau, qu'il porte malgré une grosse gibecière de lin graissé au côté dont dépasse un outil enveloppé d'un vieux linge sale. Il s'appuie sur un long bâton droit.
Il donne l'impression d'un homme affable, du petit peuple mais curieusement érudit avec une bonne diction, qui a pas mal voyagé mais n'en a pas tiré de richesses.
Nikita Timofeïevitch

Nikita Timofeïevitch est un Kislevite à l'air peu commode approchant la trentaine. Il semble parfois un peu égaré en ce pays étranger, mais ses armes et son regard lourd de menaces tiennent à distance les curieux.
Tout comme leur propriétaire, ses vêtements et fourrures ont connus des jours meilleurs, et nul doute qu'il les porte depuis son lointain pays. Que fait cet homme si loin de chez lui ?

Je me suis lancé récemment sur un forum de partie en ligne (pour les curieux) et y ai proposé la campagne de l'Ennemi Intérieur pour Warhammer.
Je vous livre donc le compte rendu de ma campagne. Chaque séance est contée du point de vue d'un des personnages. Cela permet selon moi d'impliquer plus les joueurs et de moins me casser le cul à écrire un résumé.

Si mes joueurs passent par là, je leur demanderait de faire demi tour sous peine de se voir spoiler le background de leurs gentils camarades ainsi que le pourquoi du comment de certaines scènes.

Commençons par présenter les protagonistes de l'histoire. Ils sont au nombre de quatre et comptent un apprenti sorcier de bonne famille, son fidèle serviteur, le cousin du serviteur (un vagabond à la main leste), ainsi qu'un kossar kislevite en vadrouille, payé pour leur servir de guide et de protecteur.
Albrecht von Lerndwitz


Un jeune homme d'une vingtaine d'année qui en parait trente, ses poils et ses cheveux sont en train de repousser laissant quelques marque de négligence avancée, une barbe imparfaite de quelques jours, des touffes de cheveux poussant plus vite que d'autre. Il porte une chasuble de couleur sombre violet, tirant parfois sur le noir, il porte avec lui de nombreux sacs d’où dépassent des ouvrages imprimés, son regard semble être d'un homme qui vient de recouvrer la liberté ... à la fois brillant et enjoué. il porte également un bâton et un chapeau à large bord à l'instar des chasseur de sorcières dénaturant ainsi son accoutrement et le tournant vers une mode complètement dépareillée.
Un tempérament totalement inattendu, qui passe d'un extrême à l'autre, semblant avoir vécu dans une autre univers, mais est parfois aussi stoïque qu'un aventurier expérimenté ...
Spoiler:

Igor Stadtmüller est un personnage de forte stature aussi impassible, austère, servile et distingué qu'un croque mort. Il est silencieux, parle peu et une fois passée la surprise de sa grande taille, à une forte tendance à passer rapidement inaperçu en faisant partie du décors, cette espèce de professionnelle insignifiance qu'ont les serviteurs du monde entier. Car oui, il est grand, très grand, et dépasse ses contemporains d'une bonne tête.
Ce domestique doit approcher la quarantaine au vue des poches qu'il a sous les yeux, des rides de son front et de ses cheveux courts et raides qui commencent a grisonner. Igor est d'ordinaire très inexpressif, son regard noir et dur est voilé d'indifférence et sa grande bouche est bien souvent figée dans une moue polie de statue.
Spoiler:

Un homme encore du bon côté de sa vie mais pas pour longtemps, taille légèrement inférieure à la moyenne, plutôt agréable avec un visage peu marqué, de grands yeux bleus délavés qui soutiennent un regard qui change du tout au tout rapidement en fonction des circonstances : curieux, joueur, ébahi, soupçonneux, dur, hanté, triste ou simplement neutre et froid. Des cheveux courts en bataille noirs prématurément mêlés de blanc comme sa barbe drue qui date. Une brûlure sur l'oreille droite dont il manque le lobe, et une canine en bois qui a connue de meilleurs jours.
Il porte de vieilles braies amples de laine grise, des bottes basses à rabat en cuir, une ample chemise de lin blanc brodée qui semble presque neuve sous une épaisse tunique de cuir molletonné à lacets qui semble un poil grande pour lui, une lourde cape de laine brune rapiécée avec une profonde capuche, un large chapeau vert qui semble également neuf avec une vieille patte de lapin accrochée par un ruban brun. La bosse sous sa cape est un fin sac de dos d'un beau cuir presque neuf qui lui colle comme une seconde peau, qu'il porte malgré une grosse gibecière de lin graissé au côté dont dépasse un outil enveloppé d'un vieux linge sale. Il s'appuie sur un long bâton droit.
Il donne l'impression d'un homme affable, du petit peuple mais curieusement érudit avec une bonne diction, qui a pas mal voyagé mais n'en a pas tiré de richesses.
Spoiler:

Nikita Timofeïevitch est un Kislevite à l'air peu commode approchant la trentaine. Il semble parfois un peu égaré en ce pays étranger, mais ses armes et son regard lourd de menaces tiennent à distance les curieux.
Tout comme leur propriétaire, ses vêtements et fourrures ont connus des jours meilleurs, et nul doute qu'il les porte depuis son lointain pays. Que fait cet homme si loin de chez lui ?
Spoiler: