[CR][T&T] les chroniques des M&M's
Publié : mar. oct. 23, 2012 10:39 pm
Compte rendu Tranchons et Traquons : Les Malandrins Maladroits
Basé sur un scénario pour Nightprowler "la cloche de bois"
Les PJs sont :
Palandriel : un elfe mage spécialisée dans les illusions. Teos et Amaury l'ont sauvé d'un bûcher des Gardiens de la Foi.
Teos est un kitling voleur. Avec Palandriel, il a volé un mage.
Amaury est un guerrier humain. Palandriel lui a un jour sauvé la mise.
Séverin est un halfeling marchand. Il apparait lors de la deuxième partie, nous considérons qu'il sort de prison. C'est une vieille connaissance d'Amaury.
La partie débute dans le quartier de l'ancien beffroi. Je place les éléments suivants :
Le quartier est délaissé par les commerçants : une nouvelle place avec un nouveau beffroi et un halle aux marchés s'est construit dans un quartier limitrophe.
L'ancien beffroi a été racheté par un boulanger.
En face, une fontaine et une petite place témoigne de la grandeur passée du quartier.
Les PJ habitent dans la soupente d'un vieil immeuble dans une impasse. Ils doivent payer une location.
Dans une rue passante se trouve la taverne du nain Rudy, où ils ont leurs habitudes.
Les PJ ajoutent chacun un élément :
Palandriel : "On dit que le boulanger se sert de ses livraisons de farine pour faire entrer des marchandises illégales en ville sans payer l'octroi."
Teos : "Je connais un passage près de la fontaine donnant accès au réseau d’égouts et de fontaine de la cité."
Amaury : "La cave de l'ancien beffroi n'a jamais été comblée comme tout le monde le croit, et je sais comment y accéder."
L'aventure débute par des coups violents contre la porte de leur taudis. Amaury, passe par une lucarne et se réfugie sur le toit. Teos et Palandriel attendent de voir qui frappe.
Il s'agit du représentant de leur propriétaire qui leur réclame les trois dernières semaines de loyer : trente couronnes!
Après quelques palabres, c'est sans succès qu'ils demandent un répit. Ils se font jeter dehors sans leurs effets.
Ils se réfugient chez Rudy où les rejoint quelques temps après Amaury.
Rudy tente de les mettre dehors. Les deux assiettes et le ragout qui mijote, indique qu'il attend quelqu'un.
Arrive par la cave, un autre nain, accompagné d'un garde du corps. D'un geste de la main, il indique à Rudy de les laisser et de venir le rejoindre. Ensemble, il passe une heure à discuter du bon vieux temps. Les plus intéressés des PJ apprennent que l'invité s'appelle Vittorio et fait partie de la mafia naine, la tristement célèbre Rüll, tout comme Rudy d’ailleurs, mais ce dernier a raccroché. Vittorio semble être quelqu'un d'important qui a une dette envers Rudy.
Alors que Teos et Palandriel s'éclipsent, Amaury profitent de la fin du dîner pour se présenter à Vittorio et lui proposer ses services. Après une discussion, Vittorio demande à Amaury de faire ses preuves avant de lui confier un travail. Teos de son côté apprend que le sergent Huart est corrompu.
Teos et Palandriel apprennent qu'un enfant a été retrouvé mort dans la rue cette nuit. Ils se lient avec un groupe d'enfants.
Ensemble, ils décident que la meilleure façon de faire leur preuve et de piquer la marchandise du boulanger. Ils commencent donc par se renseigner et suivre un chargement de farine. Tous les deux jours, le boulanger envoie une charrette avec deux de ses aides et un conducteur chercher de la farine aux moulins. Palandriel, profitant de ses capacités, se fait passer pour un garde nouvellement promu à la porte de la ville et y obtient les renseignements voulus. Le sergent de garde est payé pour fermer les yeux lors du passage de la charrette.
Sur le retour, les trois décident de tenter le tout pour le tout et de voler une partie du chargement. Ne pouvant se mettre d'accord, Amaury décide de tenter le coup seul. Se grimant le visage avec de la boue pour se rendre méconnaissable (?!), il pique le cul de la mule d'un coup de rapière. Malheureusement, l'effet n'est pas celui attendu : la mule s'affole, la charrette hors de contrôle percute un enfant. Et s'arrête non loin de la boulangerie.
Le sergent Huart, responsable de la milice du quartier, intervient. Amaury se débarrasse de la boue qui lui couvre le visage.
Dans la nuit, Teos tentent une infiltration dans l'ancien beffroi pendant que ses amis battent le pavé. Il parvient à récupérer un paquet dans les sacs de farine, mais quelqu'un arrive à ce moment là. Il parvient, in-extremis à s'enfuir de la pièce (au premier étage) et les trois malandrins battent en retraite avant de tomber sur la milice du sergent Huart... Fort heureusement, un cri "A L'ASSASSIN ! ! !" détourne l'attention des miliciens. Ceux-ci se dirigent aussitôt vers la source des cris et tombe sur deux sœurs de la miséricorde, à côté du corps du petit Vechio (un enfant des rues engagé par les PJ plus tôt dans la journée). Celui ci est nu et mort (aucune trace de violence).
Les PJs vont se coucher dans la cave de la boulangerie.
Le lendemain, ils retrouvent Rudy, le visage tuméfié. Les Campanaires, un groupe de voleurs, revendique le quartier et ont tenté de le racketter. Rudy leur propose d’effacer leur ardoise s'ils retrouvent les salauds qui lui ont fait cela et leur fassent la peau. Les PJ donnent à Rudy le paquet trouvé chez le boulanger et lui demande de le transmettre à Vittorio pour lui montrer de quoi ils sont capables...
Ils font ensuite le tour du quartier pour apprendre que les Campanaires tentent de racketter tout les commerces. Ils tombent d'ailleurs sur eux chez le boulanger. Afin d'éviter une bagarre, le boulanger fout tout le monde dehors, ils se séparent dans la rue. Teos décide de les suivre, tandis que Palandriel et Amaury font la chasse aux renseignements.
Teos parvient à trouver la planque des Campanaires et surprend une conversation : devant le refus du boulanger, ils ont décidé d'attaquer son chargement de farine...
Palandriel et Amaury contactent la bande à Simon qui écume le marché du nouveau beffroi. Ce dernier leur répond qu'il est au courant mais ne prendra pas partie. Il leur apprend que les Campanaires ont des liens avec une autre bande du nord du quartier : le Gang des Arènes, des gars plutôt violents.
Une fois chez Rudy, un homme de main de la mafia naine leur demande de corriger un batelier Cazar du nom de Vogor. Il n'a pas tenu ses engagements et il faudrait lui faire comprendre qui sont les patrons. Mais surtout ne pas trop l'amocher, histoire qu'il puisse toujours bosser.
Palandriel parvient à gagner la confiance d'un groupe de gamins des rues et leur confie la mission de suivre les Campanaires.
Fin de la première partie.
Le nom des malandrins maladroits est venus en cours de partie, vu les coups foireux dans lesquels se mettaient les joueurs et de la difficultés qu'ils avaient à en sortir.
Ils auraient préférés un nom qui claque plus au vent de la renommé, un peu comme les salauds gentilshommes. Mais bon le destin en a voulu autrement...
Basé sur un scénario pour Nightprowler "la cloche de bois"
Les PJs sont :
Palandriel : un elfe mage spécialisée dans les illusions. Teos et Amaury l'ont sauvé d'un bûcher des Gardiens de la Foi.
Teos est un kitling voleur. Avec Palandriel, il a volé un mage.
Amaury est un guerrier humain. Palandriel lui a un jour sauvé la mise.
Séverin est un halfeling marchand. Il apparait lors de la deuxième partie, nous considérons qu'il sort de prison. C'est une vieille connaissance d'Amaury.
La partie débute dans le quartier de l'ancien beffroi. Je place les éléments suivants :
Le quartier est délaissé par les commerçants : une nouvelle place avec un nouveau beffroi et un halle aux marchés s'est construit dans un quartier limitrophe.
L'ancien beffroi a été racheté par un boulanger.
En face, une fontaine et une petite place témoigne de la grandeur passée du quartier.
Les PJ habitent dans la soupente d'un vieil immeuble dans une impasse. Ils doivent payer une location.
Dans une rue passante se trouve la taverne du nain Rudy, où ils ont leurs habitudes.
Les PJ ajoutent chacun un élément :
Palandriel : "On dit que le boulanger se sert de ses livraisons de farine pour faire entrer des marchandises illégales en ville sans payer l'octroi."
Teos : "Je connais un passage près de la fontaine donnant accès au réseau d’égouts et de fontaine de la cité."
Amaury : "La cave de l'ancien beffroi n'a jamais été comblée comme tout le monde le croit, et je sais comment y accéder."
L'aventure débute par des coups violents contre la porte de leur taudis. Amaury, passe par une lucarne et se réfugie sur le toit. Teos et Palandriel attendent de voir qui frappe.
Il s'agit du représentant de leur propriétaire qui leur réclame les trois dernières semaines de loyer : trente couronnes!
Après quelques palabres, c'est sans succès qu'ils demandent un répit. Ils se font jeter dehors sans leurs effets.
Ils se réfugient chez Rudy où les rejoint quelques temps après Amaury.
Rudy tente de les mettre dehors. Les deux assiettes et le ragout qui mijote, indique qu'il attend quelqu'un.
Arrive par la cave, un autre nain, accompagné d'un garde du corps. D'un geste de la main, il indique à Rudy de les laisser et de venir le rejoindre. Ensemble, il passe une heure à discuter du bon vieux temps. Les plus intéressés des PJ apprennent que l'invité s'appelle Vittorio et fait partie de la mafia naine, la tristement célèbre Rüll, tout comme Rudy d’ailleurs, mais ce dernier a raccroché. Vittorio semble être quelqu'un d'important qui a une dette envers Rudy.
Alors que Teos et Palandriel s'éclipsent, Amaury profitent de la fin du dîner pour se présenter à Vittorio et lui proposer ses services. Après une discussion, Vittorio demande à Amaury de faire ses preuves avant de lui confier un travail. Teos de son côté apprend que le sergent Huart est corrompu.
Teos et Palandriel apprennent qu'un enfant a été retrouvé mort dans la rue cette nuit. Ils se lient avec un groupe d'enfants.
Ensemble, ils décident que la meilleure façon de faire leur preuve et de piquer la marchandise du boulanger. Ils commencent donc par se renseigner et suivre un chargement de farine. Tous les deux jours, le boulanger envoie une charrette avec deux de ses aides et un conducteur chercher de la farine aux moulins. Palandriel, profitant de ses capacités, se fait passer pour un garde nouvellement promu à la porte de la ville et y obtient les renseignements voulus. Le sergent de garde est payé pour fermer les yeux lors du passage de la charrette.
Sur le retour, les trois décident de tenter le tout pour le tout et de voler une partie du chargement. Ne pouvant se mettre d'accord, Amaury décide de tenter le coup seul. Se grimant le visage avec de la boue pour se rendre méconnaissable (?!), il pique le cul de la mule d'un coup de rapière. Malheureusement, l'effet n'est pas celui attendu : la mule s'affole, la charrette hors de contrôle percute un enfant. Et s'arrête non loin de la boulangerie.
Le sergent Huart, responsable de la milice du quartier, intervient. Amaury se débarrasse de la boue qui lui couvre le visage.
Dans la nuit, Teos tentent une infiltration dans l'ancien beffroi pendant que ses amis battent le pavé. Il parvient à récupérer un paquet dans les sacs de farine, mais quelqu'un arrive à ce moment là. Il parvient, in-extremis à s'enfuir de la pièce (au premier étage) et les trois malandrins battent en retraite avant de tomber sur la milice du sergent Huart... Fort heureusement, un cri "A L'ASSASSIN ! ! !" détourne l'attention des miliciens. Ceux-ci se dirigent aussitôt vers la source des cris et tombe sur deux sœurs de la miséricorde, à côté du corps du petit Vechio (un enfant des rues engagé par les PJ plus tôt dans la journée). Celui ci est nu et mort (aucune trace de violence).
Les PJs vont se coucher dans la cave de la boulangerie.
Le lendemain, ils retrouvent Rudy, le visage tuméfié. Les Campanaires, un groupe de voleurs, revendique le quartier et ont tenté de le racketter. Rudy leur propose d’effacer leur ardoise s'ils retrouvent les salauds qui lui ont fait cela et leur fassent la peau. Les PJ donnent à Rudy le paquet trouvé chez le boulanger et lui demande de le transmettre à Vittorio pour lui montrer de quoi ils sont capables...
Ils font ensuite le tour du quartier pour apprendre que les Campanaires tentent de racketter tout les commerces. Ils tombent d'ailleurs sur eux chez le boulanger. Afin d'éviter une bagarre, le boulanger fout tout le monde dehors, ils se séparent dans la rue. Teos décide de les suivre, tandis que Palandriel et Amaury font la chasse aux renseignements.
Teos parvient à trouver la planque des Campanaires et surprend une conversation : devant le refus du boulanger, ils ont décidé d'attaquer son chargement de farine...
Palandriel et Amaury contactent la bande à Simon qui écume le marché du nouveau beffroi. Ce dernier leur répond qu'il est au courant mais ne prendra pas partie. Il leur apprend que les Campanaires ont des liens avec une autre bande du nord du quartier : le Gang des Arènes, des gars plutôt violents.
Une fois chez Rudy, un homme de main de la mafia naine leur demande de corriger un batelier Cazar du nom de Vogor. Il n'a pas tenu ses engagements et il faudrait lui faire comprendre qui sont les patrons. Mais surtout ne pas trop l'amocher, histoire qu'il puisse toujours bosser.
Palandriel parvient à gagner la confiance d'un groupe de gamins des rues et leur confie la mission de suivre les Campanaires.
Fin de la première partie.
Le nom des malandrins maladroits est venus en cours de partie, vu les coups foireux dans lesquels se mettaient les joueurs et de la difficultés qu'ils avaient à en sortir.
Ils auraient préférés un nom qui claque plus au vent de la renommé, un peu comme les salauds gentilshommes. Mais bon le destin en a voulu autrement...