C'est un peu long. Y a des scénes non nécessaires
Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
- Morningkill
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Effectivement, Mickey 17, on n'est clairement pas dans de la SF bien propre bien alignée, ca part un peu dans le délire parfois, mais oui, c'est bien.
C'est un peu long. Y a des scénes non nécessaires et c'est très bavard voix off, on n'est pas du tout dans le show don't tell, je pense qu'il y avait moyen de faire autrement et sans doute mieux, après, je suis pas réalisateur.
C'est un peu long. Y a des scénes non nécessaires
Spoiler:
- Ganelon
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
French Connection II : un américain a Marseille. Film prétexte à la balade persane de Hackman dans la province urbaine de France 1975 . C’est sale ça pue les gens s’en foutent et personne ne te comprend. Le fonds narcotique est invoqué mais le film s’en fout ou bien envoie GH aux portes de l’enfer le vrai stanislavskien jusqu’à ce qu’il se fasse une raison au cognac. Finalement on peut vivre à Marseille mais le jetlag prend du temps et comme dans Pickpocket le final fuck passe par bien des épreuves. Le queens ou le nam c’est de la rigolade à côté.
Le haradrîm, c'est peu le tartare de Sauron, non ?
- Gridal
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
J'ai adoré le film, mais c'est clair que certaines scènes sont très, très dures. À sa sortie il a été classé : Tout publics avec avertissement (Le climat général anxiogène et certaines scènes particulièrement crues peuvent heurter la sensibilité du jeune public). C'est une bonne définition je trouve.Mugen a écrit : ↑sam. mars 08, 2025 10:08 pm L'évènement , l'histoire d'une lycéenne qui tombe enceinte dans les années 60 et cherche à avorter.
Je n'ai pas réussi à finir le film. Il n'y avait pourtant aucune scène de nature à choquer la sensibilité des spectateurs, mais les situations dans lesquelles elle se retrouve étaient réalistes, et difficilement soutenables.
- Mugen
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Black Dog, de Hu Guan.
Après avoir purgé une peine de prison, Lang revient dans sa ville d'enfance.
Située au portes du désert de Gobi, elle a été désertée par la plupart de ses habitants, qui ont laissé derrière eux leurs chiens, errants dans les rues.
Mais à l'approche des JO de Pékin, un nouvel essor économique est promis à la ville, qui devra opérer uje mue.
Le film est assez âpre, comme son héros, qui ne dit quasiment rien pendant la première heure.
Les images sont cependant magnifiques, même si elles sont très grises.
Après avoir purgé une peine de prison, Lang revient dans sa ville d'enfance.
Située au portes du désert de Gobi, elle a été désertée par la plupart de ses habitants, qui ont laissé derrière eux leurs chiens, errants dans les rues.
Mais à l'approche des JO de Pékin, un nouvel essor économique est promis à la ville, qui devra opérer uje mue.
Le film est assez âpre, comme son héros, qui ne dit quasiment rien pendant la première heure.
Les images sont cependant magnifiques, même si elles sont très grises.
Sois satisfait des fruit, des fleurs et même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
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- Elthaïn
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Je sors de Mickey 17, que j'attendais quand même beaucoup, vu le pédigrée du réalisateur. Et j'avoue que, malgré des critiques globalement positives, je suis sorti avec un avis plutôt mitigé. Le côté comédie ne m'a pas gêné, mais je ne l'ai pas trouvé particulièrement drôle et au fond très convenu. Robert Pattinson n'est pas mauvais dans son ses rôles (mieux qu'en batman), mais je trouve que Mark Ruffalo en fait beaucoup trop avec son personnage.
Donc, pas vraiment emballé. J'en attendais mieux, clairement. Au fond, le pitch de base m'a davantage intéressé que le film en soi.
Donc, pas vraiment emballé. J'en attendais mieux, clairement. Au fond, le pitch de base m'a davantage intéressé que le film en soi.
- Saladdin
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
J'ai le même ressenti. Le film est très prévisible, à part quelques moments plus extravagants, tout le film est assez convenu. Je n'ai pas détesté, mais j'en attendais bien plus...
- Mugen
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Insider
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un Soderbergh.
Le film est un plaisant jeu d'espionnages entre amis.
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- Elthaïn
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Pas vraiment aimé pour ma part. Ce que j'en ai retenu, c'est :
Spoiler:
- Mugen
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Gundam Gquuuuuux
La première partie du film nous introduit son univers où celui qui s'empare du Gundam n'est pas Amuro, le pilote de la série, mais Char, son arch-nemesis. Il en résulte une victoire à plates coutures de Zeon sur les forces de la Fédération.
La seconde partie se déroule plusieurs années après la victoire de Zeon et la disparition mystérieuse de Char. Son Gundam revient, mais il est piloté par un jeune homme. Il va se retrouver entraîné dans un combat illégal de mecha avec une jeune fille du nom de Machu (qui sera le personnage principal de la série), aux commandes du Gundam Gquuuuuux, qu'elle a subtilisé à son pilote officiel.
Il est difficile d'avoir un vrai avis sur ce qui n'est que l'introduction à la nouvelle série Gundam, et qui se finit abruptement parce que sa fin correspond à la fin d'un épisode d'exposition, qui doit donner envie de voir le reste.
Et s'il s'était agi de faire un vrai scénario de film, la partie avec Char aurait été beaucoup trop longue.
Et bon, j'étais malade et j'ai comaté pendant la plupart du film...
La première partie du film nous introduit son univers où celui qui s'empare du Gundam n'est pas Amuro, le pilote de la série, mais Char, son arch-nemesis. Il en résulte une victoire à plates coutures de Zeon sur les forces de la Fédération.
La seconde partie se déroule plusieurs années après la victoire de Zeon et la disparition mystérieuse de Char. Son Gundam revient, mais il est piloté par un jeune homme. Il va se retrouver entraîné dans un combat illégal de mecha avec une jeune fille du nom de Machu (qui sera le personnage principal de la série), aux commandes du Gundam Gquuuuuux, qu'elle a subtilisé à son pilote officiel.
Il est difficile d'avoir un vrai avis sur ce qui n'est que l'introduction à la nouvelle série Gundam, et qui se finit abruptement parce que sa fin correspond à la fin d'un épisode d'exposition, qui doit donner envie de voir le reste.
Et s'il s'était agi de faire un vrai scénario de film, la partie avec Char aurait été beaucoup trop longue.
Et bon, j'étais malade et j'ai comaté pendant la plupart du film...
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- Gridal
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Dans la catégorie "suites obscures de séries B déjà un peu obscures" :
King Kong II (John Guillermin, 1986) : dix ans après sa chute du World Trade Center, Kong est maintenu en coma artificiel par une organisation gouvernementale, qui essaie de le soigner. Un beau jour une femelle de la même espèce est capturée à Bornéo.
Et donc, dix ans après son médiocre remake de King Kong, John Guillermin revient aux manettes pour réaliser la suite de aventures du roi des singes. On est dans le navet de chez navet, même si je m'attendais à un film beaucoup plus fauché (il a été nominé aux Razzie Awards des pires effets spéciaux). Oui c'est moche, mais pas tant que ça, il y a même quelques effets plutôt sympas. C'est pas ça le problème, c'est tout le reste. Les passages avec Kong et Madame sont ridicules à force de vouloir les anthropomorphiser, le scénario est débile, et les acteurs sont quasiment tous mauvais. Le protagoniste est un Indiana Jones d'occasion sans aucun charisme et qui joue très mal, l'antagoniste une caricature de militaire bourrin incarné par John Ashton, Taggart dans les Flic de Beverly Hills. À par quelques scènes rigolotes par leur bêtise, le seul truc à sauver c'est une Linda Hamilton post-Terminator, qui n'a pas grand chose à jouer mais qui le fait bien et qui arrive à être classe. J'avais jamais réalisé combien la Linda Hamilton des années 80 ressemblait à la Adèle Haenel des années 2010, ici c'est troublant. Le regard dur et impressionnant, la mâchoire serrée, la rage intérieure, tout y est.
Si vous êtes comme moi un amateur des films de monstres géants, même des mauvais, ça peut passer, sinon oubliez.

Ginger Snaps : Aux origines du mal (Grant Harvey, 2004) : début du XIXe siècle. Les sœurs Ginger et Brigitte, perdues dans la forêt canadienne, trouvent refuge dans un fort où quelques survivants luttent contre les assauts de mystérieuses créatures.
Ce troisième épisode de la série Ginger Snaps fait le choix de la préquelle, catapultant deux sœurs identiques aux Fitzgerald des deux premiers films au XIXe siècle, sans explication. Ça passe. J'ai beaucoup d'affection pour cette saga. C'est de la vraie série B, sans trop de moyens mais qui arrive relativement à le masquer, c'est cruel et sanglant. Là où le premier était un pur produit de la fin des années 90 avec la lycanthropie comme métaphore de l'éveil à la sexualité (inspi parfaite pour Monsterhearts), là où le second, s'il ne lâchait pas la sexualité, parlait surtout d'addiction et de troubles mentaux, celui-ci est est un survival à huis clos ou presque, parfait pour les MJ de Colonial Gothic ou Bûcherons & Loups-garous. Chouette trilogie.

Cube² : Hypercube (Andrzej Sekuła, 2002) : plusieurs personnes se réveillent, sans aucun souvenir, dans des pièces cubiques identiques, qui sont reliées entre elles. Elles vont chercher la sortie de ce labyrinthe.
Le premier Cube avait fait son effet à sa sortie ; huis clos SF imparfait, fauché mais très intelligemment mis en scène avec un pitch original, il avait raflé quelques prix et avait fait sensation en festival, puis avait fini par plus ou moins être oublié, comme son réalisateur (dont j'avais bien aimé Splice en 2010).
Le cinéma de genre étant ce qu'il est, une suite était inévitable. Ce Cube² : Hypercube se vautre complètement dans le cliché des deuxièmes épisodes bigger & louder, en reprenant le concept - il est vrai limité - du précédent et en ajoutant des histoires de voyage dans le temps et de réalités alternatives. Bref ça ressemble à une fan fiction de Doctor Who, sans aucune imagination et bourrée d'incohérences gigantesques. Avec des effets spéciaux dégueulasses.
Il existe aussi une préquelle, Cube Zero, et un remake japonais récent, peut-être qu'un DVD à 1 € chez Cash Converters pourrait me motiver à les voir, mais je suis même pas sûr.

King Kong II (John Guillermin, 1986) : dix ans après sa chute du World Trade Center, Kong est maintenu en coma artificiel par une organisation gouvernementale, qui essaie de le soigner. Un beau jour une femelle de la même espèce est capturée à Bornéo.
Et donc, dix ans après son médiocre remake de King Kong, John Guillermin revient aux manettes pour réaliser la suite de aventures du roi des singes. On est dans le navet de chez navet, même si je m'attendais à un film beaucoup plus fauché (il a été nominé aux Razzie Awards des pires effets spéciaux). Oui c'est moche, mais pas tant que ça, il y a même quelques effets plutôt sympas. C'est pas ça le problème, c'est tout le reste. Les passages avec Kong et Madame sont ridicules à force de vouloir les anthropomorphiser, le scénario est débile, et les acteurs sont quasiment tous mauvais. Le protagoniste est un Indiana Jones d'occasion sans aucun charisme et qui joue très mal, l'antagoniste une caricature de militaire bourrin incarné par John Ashton, Taggart dans les Flic de Beverly Hills. À par quelques scènes rigolotes par leur bêtise, le seul truc à sauver c'est une Linda Hamilton post-Terminator, qui n'a pas grand chose à jouer mais qui le fait bien et qui arrive à être classe. J'avais jamais réalisé combien la Linda Hamilton des années 80 ressemblait à la Adèle Haenel des années 2010, ici c'est troublant. Le regard dur et impressionnant, la mâchoire serrée, la rage intérieure, tout y est.
Si vous êtes comme moi un amateur des films de monstres géants, même des mauvais, ça peut passer, sinon oubliez.

Ginger Snaps : Aux origines du mal (Grant Harvey, 2004) : début du XIXe siècle. Les sœurs Ginger et Brigitte, perdues dans la forêt canadienne, trouvent refuge dans un fort où quelques survivants luttent contre les assauts de mystérieuses créatures.
Ce troisième épisode de la série Ginger Snaps fait le choix de la préquelle, catapultant deux sœurs identiques aux Fitzgerald des deux premiers films au XIXe siècle, sans explication. Ça passe. J'ai beaucoup d'affection pour cette saga. C'est de la vraie série B, sans trop de moyens mais qui arrive relativement à le masquer, c'est cruel et sanglant. Là où le premier était un pur produit de la fin des années 90 avec la lycanthropie comme métaphore de l'éveil à la sexualité (inspi parfaite pour Monsterhearts), là où le second, s'il ne lâchait pas la sexualité, parlait surtout d'addiction et de troubles mentaux, celui-ci est est un survival à huis clos ou presque, parfait pour les MJ de Colonial Gothic ou Bûcherons & Loups-garous. Chouette trilogie.

Cube² : Hypercube (Andrzej Sekuła, 2002) : plusieurs personnes se réveillent, sans aucun souvenir, dans des pièces cubiques identiques, qui sont reliées entre elles. Elles vont chercher la sortie de ce labyrinthe.
Le premier Cube avait fait son effet à sa sortie ; huis clos SF imparfait, fauché mais très intelligemment mis en scène avec un pitch original, il avait raflé quelques prix et avait fait sensation en festival, puis avait fini par plus ou moins être oublié, comme son réalisateur (dont j'avais bien aimé Splice en 2010).
Le cinéma de genre étant ce qu'il est, une suite était inévitable. Ce Cube² : Hypercube se vautre complètement dans le cliché des deuxièmes épisodes bigger & louder, en reprenant le concept - il est vrai limité - du précédent et en ajoutant des histoires de voyage dans le temps et de réalités alternatives. Bref ça ressemble à une fan fiction de Doctor Who, sans aucune imagination et bourrée d'incohérences gigantesques. Avec des effets spéciaux dégueulasses.
Il existe aussi une préquelle, Cube Zero, et un remake japonais récent, peut-être qu'un DVD à 1 € chez Cash Converters pourrait me motiver à les voir, mais je suis même pas sûr.

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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
A mon avis çà vaut quand même le coup, pour la complétude, de voir Cube:Zéro - le deuxième était dispensable, ce troisième est un peu mieux et complète assez bien l'histoire.
- Lordelric
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- Localisation : Imrryr, avant la chute...
Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Fait gaffe, @Gridal : entre ton goût pour les grosses bébêtes et visiblement ta manie de vouloir matter toutes les suites des séries B américaines à succès, je te sens bien parti pour te faire une intégrale Tremors... 

co-fondateur autoproclamé de l'ABA (désolé)
Le jdr : faire et se faire plaisir. What else ?
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- DocDandy
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Mugen a écrit : ↑dim. mars 16, 2025 6:53 pm Gundam Gquuuuuux
La première partie du film nous introduit son univers où celui qui s'empare du Gundam n'est pas Amuro, le pilote de la série, mais Char, son arch-nemesis. Il en résulte une victoire à plates coutures de Zeon sur les forces de la Fédération.
La seconde partie se déroule plusieurs années après la victoire de Zeon et la disparition mystérieuse de Char. Son Gundam revient, mais il est piloté par un jeune homme. Il va se retrouver entraîné dans un combat illégal de mecha avec une jeune fille du nom de Machu (qui sera le personnage principal de la série), aux commandes du Gundam Gquuuuuux, qu'elle a subtilisé à son pilote officiel.
Il est difficile d'avoir un vrai avis sur ce qui n'est que l'introduction à la nouvelle série Gundam, et qui se finit abruptement parce que sa fin correspond à la fin d'un épisode d'exposition, qui doit donner envie de voir le reste.
Et s'il s'était agi de faire un vrai scénario de film, la partie avec Char aurait été beaucoup trop longue.
Et bon, j'étais malade et j'ai comaté pendant la plupart du film...
J'avoue je suis un brin déçu. Je savais qu'on aurait beaucoup de choses sur un seul film et que ce serait compliqué mais là...
Bref oui la première partie est totalement fan service où tu revois des perso emblématiques de Gundam. Ravi de savoir que ce pauvre Slender s'en sort grâce à la panne du Zaku de Gene (qui ne fait pas de conneries dans cette timeline

Toute la partie où char s'empare du Gundam, le peint en rouge et démonte la Fédération en quelques mois est intéressante pour le fan mais d'un point de vue spectateur c'est très frustrant. A la fois la partie est trop longue mais les évènements s'enchainent très vite ce qui rend l'ensemble extrêmement confus. Je veux dire j'attendais une apparition de Rambal ou de Dözle (on apprend sa mort entre deux scènes) mais rien.

La seconde partie était plus sympa mais clairement un épisode d'introduction de la série à venir où on découvre les personnages de façon superficielle.
Comme souvent le personnage principale est une tête à claques

Bref, j'attend de voir même si j'ai piqué du nez pendant la séance. Et j'ai déjà programmé mon Zaku policier et mon Red Gundam en version Gunpla

- Gridal
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
J'ai vu le premier quand j'étais ado, mes souvenirs sont vagues mais c'était plutôt marrant je crois. J'avais pas idée du succès de cette saga : je viens de vérifier sur le net, il y a sept films et une série télé ! Je crois que je suis pas prêt :mrgreen:
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- Dieu des jeunes à casquette
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- Localisation : Provisoirement sur Sol III
Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Spoiler:
Je ne suis pas vieux, je suis vintage et à jamais Sochalien !