Pauline Escobar, victime il y a quelques années de la dictature militaire de son pays, croit reconnaître la voix et le rire de son tortionnaire dans l'homme, le docteur Roberto Miranda, venu raccompagner son mari, un brillant avocat qui travaille sur les exactions passées, dans leur maison isolée en bord de mer.
Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Ca ressemble à la thématique de La jeune fille et la mort (Polanski, Sigourney Weaver) (qu'il faudrait que je revois, j'en ai un bon mais lointain souvenir).
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Killing Joke a écrit : ↑sam. oct. 04, 2025 2:09 pm Ca ressemble à la thématique de La jeune fille et la mort (Polanski, Sigourney Weaver) (qu'il faudrait que je revois, j'en ai un bon mais lointain souvenir).
Pauline Escobar, victime il y a quelques années de la dictature militaire de son pays, croit reconnaître la voix et le rire de son tortionnaire dans l'homme, le docteur Roberto Miranda, venu raccompagner son mari, un brillant avocat qui travaille sur les exactions passées, dans leur maison isolée en bord de mer.
C'est exactement ce que je me suis dis, et moi aussi j'avais bien aimé ce film.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Killing Joke a écrit : ↑sam. oct. 04, 2025 2:09 pm Ca ressemble à la thématique de La jeune fille et la mort (Polanski, Sigourney Weaver) (qu'il faudrait que je revois, j'en ai un bon mais lointain souvenir).
Pauline Escobar, victime il y a quelques années de la dictature militaire de son pays, croit reconnaître la voix et le rire de son tortionnaire dans l'homme, le docteur Roberto Miranda, venu raccompagner son mari, un brillant avocat qui travaille sur les exactions passées, dans leur maison isolée en bord de mer.
Ah, c'est pour ça que j'avais une impression de déjà vu !
Par contre, le scénario diverge assez vite, et il y a plus de personnages.
Le film flirte aussi pas mal avec la comédie.
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Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Sirāt (Oliver Laxe, 2025) : lors d'une free party dans le désert marocain, un homme, accompagné par son jeune fils, recherche désespérément sa fille qui n'a plus donné signe de vie depuis plusieurs mois.
Pour commencer, visuellement et sonorement, c'est une tuerie, à voir absolument au cinéma. Si vous hésitez, n'attendez pas un passage télé, le film en perdra beaucoup. Sur le fond je suis plus partagé. J'ai apprécié la première partie, surtout le premier quart d'heure, avant l'apparition du titre. Puis à mi-chemin un événement choquant arrive et j'ai cru que l'histoire allait partir sur toute autre chose mais pas vraiment. Dans ce background juste esquissé mais plein de promesses on continue à suivre des protagonistes parfois touchants mais le plus souvent tristement banals. Excepté Sergi López, comme souvent parfait.
Puis arrive la seconde scène de trip, pour reprendre le terme de beaucoup de critiques ; elle commence parfaitement bien mais est bien trop rapidement stoppée par une nouvelle "surprise"
Le film pèche par une écriture parfois maladroite et un réalisateur qui semble se croire plus malin qu'il ne l'est réellement. C'est très frustrant parce qu'il possède d'immenses qualités, j'aurais adoré adorer. Ça reste à voir je pense, sur grand écran encore une fois. Je crois que j'ai quand même préféré les deux précédents de Laxe, Mimosas et Viendra la feu.
Il me semble que quelqu'un ici a parlé du Salaire de la peur. Plus que le Clouzot j'y ai vu Le Convoi de la peur / Sorcerer de William Friedkin, jusqu'aux nappes musicales qui rappellent Tangerine Dream, et également Mad Max : Fury Road de George Miller pour sa mécanique décrépite et son mouvement perpétuel. Avec un soupçon du Zabriskie Point d'Antonioni.

Furiosa : Une saga Mad Max (George Miller, 2024) : enfant, Furiosa est enlevée de sa tribu par un gang de pillards mené par Dementus. En grandissant, elle va apprendre à se faire une place dans les Wastelands.
Ça y est, mon revisionnage de la saga Mad Max est enfin terminé. Même si j'y ai vu plus de défauts que lors de sa sortie au cinéma, j'ai quand même pris un grand plaisir à revoir le film. Il a un vrai, gros, problème : là où les précédentes suites réinventaient chacune l'univers en l'emmenant dans de nouvelles directions, Furiosa est une "bête" préquelle de Fury Road et en utilise les personnages, les lieux et et la direction artistique.
Cela dit le film reste quand même diablement efficace au niveau de son déroulé, de ses scènes d'action (celle de la première sortie du nouveau War Rig est incroyable !) et de ses protagonistes ; Anya Taylor-Joy ne vaut pas Charlize Theron mais tient très bien le rôle principal, Chris Hemsworth est bon en chef de guerre pas très compétent et Tom Burke est une excellente surprise en Praetorian Jack, sorte de proto-Max à l'humanité surprenante dans un tel univers. C'est bien George Miller qui est aux commandes avec son obsession pour les mythes et les hommes et femmes qui créent leur propre histoire (les Mad Max bien sûr, mais aussi 3000 ans à t'attendre et même, soyons fous, Happy Feet 2 via le personnage de Sven, et Lorenzo avec ses parents prêts à tout pour changer le destin de leur fils).
Alors oui il y a, surtout au début, un abus de CGI alors que Fury Road sentait encore les cascades "en dur", l'effet de surprise de l'épisode précédent a disparu et j'aurais aimé plus de nouveauté. C'est un peu dommage mais le film reste très appréciable. J'espère quand même que Miller aura l'occasion de tourner Mad Max : Wastelands et que celui-ci apportera plus de surprises.

Pour commencer, visuellement et sonorement, c'est une tuerie, à voir absolument au cinéma. Si vous hésitez, n'attendez pas un passage télé, le film en perdra beaucoup. Sur le fond je suis plus partagé. J'ai apprécié la première partie, surtout le premier quart d'heure, avant l'apparition du titre. Puis à mi-chemin un événement choquant arrive
Spoiler:
Puis arrive la seconde scène de trip, pour reprendre le terme de beaucoup de critiques ; elle commence parfaitement bien mais est bien trop rapidement stoppée par une nouvelle "surprise"
Spoiler:
Le film pèche par une écriture parfois maladroite et un réalisateur qui semble se croire plus malin qu'il ne l'est réellement. C'est très frustrant parce qu'il possède d'immenses qualités, j'aurais adoré adorer. Ça reste à voir je pense, sur grand écran encore une fois. Je crois que j'ai quand même préféré les deux précédents de Laxe, Mimosas et Viendra la feu.
Il me semble que quelqu'un ici a parlé du Salaire de la peur. Plus que le Clouzot j'y ai vu Le Convoi de la peur / Sorcerer de William Friedkin, jusqu'aux nappes musicales qui rappellent Tangerine Dream, et également Mad Max : Fury Road de George Miller pour sa mécanique décrépite et son mouvement perpétuel. Avec un soupçon du Zabriskie Point d'Antonioni.

Furiosa : Une saga Mad Max (George Miller, 2024) : enfant, Furiosa est enlevée de sa tribu par un gang de pillards mené par Dementus. En grandissant, elle va apprendre à se faire une place dans les Wastelands.
Ça y est, mon revisionnage de la saga Mad Max est enfin terminé. Même si j'y ai vu plus de défauts que lors de sa sortie au cinéma, j'ai quand même pris un grand plaisir à revoir le film. Il a un vrai, gros, problème : là où les précédentes suites réinventaient chacune l'univers en l'emmenant dans de nouvelles directions, Furiosa est une "bête" préquelle de Fury Road et en utilise les personnages, les lieux et et la direction artistique.
Cela dit le film reste quand même diablement efficace au niveau de son déroulé, de ses scènes d'action (celle de la première sortie du nouveau War Rig est incroyable !) et de ses protagonistes ; Anya Taylor-Joy ne vaut pas Charlize Theron mais tient très bien le rôle principal, Chris Hemsworth est bon en chef de guerre pas très compétent et Tom Burke est une excellente surprise en Praetorian Jack, sorte de proto-Max à l'humanité surprenante dans un tel univers. C'est bien George Miller qui est aux commandes avec son obsession pour les mythes et les hommes et femmes qui créent leur propre histoire (les Mad Max bien sûr, mais aussi 3000 ans à t'attendre et même, soyons fous, Happy Feet 2 via le personnage de Sven, et Lorenzo avec ses parents prêts à tout pour changer le destin de leur fils).
Alors oui il y a, surtout au début, un abus de CGI alors que Fury Road sentait encore les cascades "en dur", l'effet de surprise de l'épisode précédent a disparu et j'aurais aimé plus de nouveauté. C'est un peu dommage mais le film reste très appréciable. J'espère quand même que Miller aura l'occasion de tourner Mad Max : Wastelands et que celui-ci apportera plus de surprises.

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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Comme beaucoup de sagas iconiques des années 90, la saga Predators a pour le moins connu des hauts (Predator 1, Prey, Killer of the Killers) et des bas, bas, bas, très très bas ... (tout le reste ?) - avec peut-être un revival à venir via Predator : Badlands ?
Toujours est-il qu'un numéro hors-série de Mad Movies se prépare sur la saga. Chez Ulule. 13€ en souple, 19€ en cartonné. Livraison fin novembre. Pas d'early-birds. Possibilité de prendre des packs avec certains des autres hors-série (Alien, Conan, Jurassic Park, Terminator) et/ou avec des abonnements.
https://www.ulule.com/la-saga-predator- ... ale_219805

Toujours est-il qu'un numéro hors-série de Mad Movies se prépare sur la saga. Chez Ulule. 13€ en souple, 19€ en cartonné. Livraison fin novembre. Pas d'early-birds. Possibilité de prendre des packs avec certains des autres hors-série (Alien, Conan, Jurassic Park, Terminator) et/ou avec des abonnements.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Ils n'ont pas osé "Du classique au nanard" en sous-titre ;p
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
J'ai vu tous les predators et assimilés et au final, je ne retiendrai que le tout premier, même si ça respire quand même fortement les années 80...
Revu The Faculty, j'en avais aucun souvenir, à part que je l'avais vu. Dieux, quelle purge, que c'est mal joué.
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« il se rencontre aussi dans le cœur humain un goût dépravé pour l'égalité, qui porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau, et qui réduit les hommes à préférer l'égalité dans la servitude à l'inégalité dans la liberté »
(Alexis de Tocqueville, de la démocratie en Amérique)
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Tron : Arès.
J’y allais juste par complétion, la bande annonce ne m’ayant vraiment pas emballée. Qu’est-ce que c’est con. Le principe de la numérisation, qui n’avait déjà pas beaucoup de sens dans l’original, est ici inversé, sans que ça fasse plus sens. Le macguffin est absurde dans son concept et cliché au possible dans son apparence. Ça commence par un long info-dump pas sexy. La musique est une variation sur boumboumboum tictictic. Les scènes d’actions sont lentes et les informations importantes répétées plusieurs fois.
Et pourtant… C’est super ! Déjà, c’est beau. Le réel est très réel, le virtuel est bien conçu. Les véhicules sont impressionnants. Les combats sont simples et « lents », mais donc super lisibles. Les armes sont bien chorégraphiées. La musique est assez simple, mais porte le tout, surtout en IMAX. L’histoire est assez dense et intéressante. Les quelques blagues marchent d’autant mieux qu’elles sont peu nombreuses (j’ai remarqué la première à la moitié du film) et qu’elles sont diégétiques (pas du genre à se moquer du film). Il y a deux grands moments d’héroïsme, et je ne parle pas de « taper sur le méchant », mais d’un vrai sens du sacrifice.
Donc, autant j’ai passé le début à me moquer de la stupidité du film, autant il a réussi à m’emporter et à faire valoir ses qualités. J’ai passé un très bon moment. On est à des lieux du précédent, dont je n'ai presque aucun souvenir.
J’y allais juste par complétion, la bande annonce ne m’ayant vraiment pas emballée. Qu’est-ce que c’est con. Le principe de la numérisation, qui n’avait déjà pas beaucoup de sens dans l’original, est ici inversé, sans que ça fasse plus sens. Le macguffin est absurde dans son concept et cliché au possible dans son apparence. Ça commence par un long info-dump pas sexy. La musique est une variation sur boumboumboum tictictic. Les scènes d’actions sont lentes et les informations importantes répétées plusieurs fois.
Et pourtant… C’est super ! Déjà, c’est beau. Le réel est très réel, le virtuel est bien conçu. Les véhicules sont impressionnants. Les combats sont simples et « lents », mais donc super lisibles. Les armes sont bien chorégraphiées. La musique est assez simple, mais porte le tout, surtout en IMAX. L’histoire est assez dense et intéressante. Les quelques blagues marchent d’autant mieux qu’elles sont peu nombreuses (j’ai remarqué la première à la moitié du film) et qu’elles sont diégétiques (pas du genre à se moquer du film). Il y a deux grands moments d’héroïsme, et je ne parle pas de « taper sur le méchant », mais d’un vrai sens du sacrifice.
Donc, autant j’ai passé le début à me moquer de la stupidité du film, autant il a réussi à m’emporter et à faire valoir ses qualités. J’ai passé un très bon moment. On est à des lieux du précédent, dont je n'ai presque aucun souvenir.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Nouvelle Vague
L'histoire du tournage d'A Bout de Souffle.
J'ai beaucoup aimé, même si le jeu des acteurs peut parfois dérouter, surtout pour Godard. Mais les acteurs de Bebel et Jean Seberg sont bons, surtout elle, c'est l'essentiel.
Et même s'il s'agit fondamentalement d'un morceau de biopic qui raconte un moment par le menu, il n'a pas ce côté pesant que donne souvent ce genre d'exercice. Au contraire, il retranscrit très bien le chaos que devait être le tournage.
Et ça m'a évidemment donné envie de revoir l'original...
L'histoire du tournage d'A Bout de Souffle.
J'ai beaucoup aimé, même si le jeu des acteurs peut parfois dérouter, surtout pour Godard. Mais les acteurs de Bebel et Jean Seberg sont bons, surtout elle, c'est l'essentiel.
Et même s'il s'agit fondamentalement d'un morceau de biopic qui raconte un moment par le menu, il n'a pas ce côté pesant que donne souvent ce genre d'exercice. Au contraire, il retranscrit très bien le chaos que devait être le tournage.
Et ça m'a évidemment donné envie de revoir l'original...
Sois satisfait des fruit, des fleurs et même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
ce qui me fait penser qu'il faudra que je regarde Alphaville, un jour...
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Tron:Ares
Pour je ne sais quelle raison, j'ai eu un mal fou à rentrer dans le film, mais j'ai fini par être embarqué.
Je n'ai pas été aussi conquis qu'@Olivier Fanton, mais c'est un bon divertissement de SF, et c'est pas mal.
Et même s'il y a évidemment beaucoup de choses qui demandent beaucoup de suspension d'incrédulité, au moins les systèmes utilisent des commandes Unix qui ressemblent à de l'Unix.
Pour je ne sais quelle raison, j'ai eu un mal fou à rentrer dans le film, mais j'ai fini par être embarqué.
Je n'ai pas été aussi conquis qu'@Olivier Fanton, mais c'est un bon divertissement de SF, et c'est pas mal.
Et même s'il y a évidemment beaucoup de choses qui demandent beaucoup de suspension d'incrédulité, au moins les systèmes utilisent des commandes Unix qui ressemblent à de l'Unix.

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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Caltiki The Immortal Monster (Riccardo Freda et Mario Bava, 1959)
Un groupe d'archéologues fait une découverte monstrueuse lors de fouilles en Amérique du Sud. C’est un scénario de l’Appel de Cthulhu filmé, avec un shoggoth dans le rôle du monstre. Les effets sont tout mignons, avec des petites maquettes de chaises et de chars. C'est aussi gore par moment. Au final, c’est distrayant, mais un peu mou comme les films de l’époque (1h15 qui paraissent plus longues).

Un groupe d'archéologues fait une découverte monstrueuse lors de fouilles en Amérique du Sud. C’est un scénario de l’Appel de Cthulhu filmé, avec un shoggoth dans le rôle du monstre. Les effets sont tout mignons, avec des petites maquettes de chaises et de chars. C'est aussi gore par moment. Au final, c’est distrayant, mais un peu mou comme les films de l’époque (1h15 qui paraissent plus longues).
Content que ça t'ai plu.

Un lapin qui bouquine n'a pas besoin de lunettes. (Les Bouquins du Lapin)
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Il est chouette celui-là, malgré ses défauts. La première partie est réussie, la fin aussi, par contre l'acte central est un long tunnel de dialogues pas très intéressants. J'ai moi aussi pensé à un scénario de L'Appel de Cthulhu un peu pulp et série B.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Vu ce soir au Sirius Une Bataille après l'autre de Paul Thomas Anderson (2025).
Une comédie d'aventure révulitionaro-policère politique. Très différent de Licorice Pizza...
Toustes les acteur·ices sont au top : Chase Infinity, Sean Penn en policier raciste avec ses tics bucaux, Benicio Del Torro en prof de karaté hébergeur de migrants, Leonardo Di Caprio en Big Lebowski ancien révolutionnaire défoncé...
Et une des meilleures scènes de poursuite automobile depuis Fargo (tiens, encore les frères Cohen...).
https://www.imdb.com/fr/title/tt30144839/
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