Hors donc, c'est reparti, toujours vers d'autres couloirs humides à l'obscurité poisseuse ...
Bon il faut avouer que le couloir est relativement court, et débouche sur une grande salle, occupée majoritairement par une immense table.
Nos amis avancent groupé, Marschmallow en tête, jusqu'à ce que "clic, oups, et merde !" Une herse, déclenchée par une plaque de pression s'abat et scinde le groupe en deux. La Halfeline et le demi-drow coté salle, les autres côté couloir. Marsch explore, Marcus scrute, et Kraz déboite nonchalement un des barreaux de la herse.
Pour tout vous dire, la vorodeuse (bin oui, je m'y perd moi dans les multiples incarnations), n'explore pas longtemps, puisque la porte du fond, pile poil celle ou Marsch se trouve s'ouvre violement, et vomit son lot de guerriers hobgobelins. Vous savez, pas les demi-portions, les grands et musculeux, armurés de pied en cap, dotés de fléaux déboiteurs de genoux, et de boucliers protecteurs de compagnons d'armes.
Kraz rentre alors le ventre, et se glisse
entre les barreaux, mais est stoppé, ainsi que Marcus par un mur de boucliers. Deux des BigGobs sont déjà face à eux, et les bloquent dos à la herse, avec leurs boucliers lourds. Marschmallow en profite pour flanker une fois ou deux avant de certainement prendre la branlée de sa vie !
Zut alors, j'ai oublié de vous parler du Chef de Guerre, celui à coté duquel les guerriers passeraient presque pour des nains !
Celui qui perfore l'halfeline d'un monstrueux coup de lance, qui invective ses troupes pour optimiser leur sens tactique, et leur permettre de mieux se placer et de faire plus de dommages. Donc quelques tous petits rounds plus tard, Marsch s'effondre, sous le regard impuissant de ses compagnons, toujours bloqués par ce mur de fer hobgobelin. Au comble de l'horreur, ils assistent en rageant au coup de grâce que porte un guerrier à la frêle jeune fille, qui déjà dans le coma, se retrouve à un point de vie de passer de coma à trépas.
Devant tant de bassesse, la juste fureur des aventuriers atteint des sommets insoupçonnés ! Les points d'actions volent, les pouvoirs journaliers fusent, et nos héros reprennent la situation en main. A force de redoubler de coups puissants, ils abattent un des deux guerriers leur barrant le passage, et le chef. Kraz, dont c'est le jour de gloire fait des merveilles, Marcus ranime sa petite camarade, et la situation enfin, s'inverse.
Une fois n'est pas coutume, notre fine équipe fait un prisonnier
... enfin pendant quelques secondes, le temps d'une scène alibi roleplay, avant que Maldoran ne coupe court, d'une décharge occulte accompagnée d'un cinglant "c'est pas tout ça, mais y a mon train qui m'attend !" 
Avec critique et tout le tralala, on récompense pas l'héroïsme béat chez Alahel ! Brute !
Y sont cons des fois ces MeuJeu ...
